Ca y est, Marlène, ma prof de sport de collège, est arrivée ! Il est loin le temps des tours de piste infernaux… Nous avons papoté tout l’après-midi, et j’ai eu droit à quelques petites surprises savoureuses : des frittons de canard, des rillettes de volaille et de canard, et du piment d’Espelette.
« C’est un AOC, c’est sûr, tu connais pas ! », m’a-t-elle promis en posant sa valise !
C’est vrai. Et je suis impatiente de découvrir ! Après avoir ouvert le pot et m’avoir fait sentir, ça m’a rappelé la marinade de la viande au tan doori, en plus doux. Parce qu’on est quand même assez éloigné de l’Inde, de son énergie, de son intensité et de ses couleurs.
Aussi, étant curieuse de nature, j’aime beaucoup découvrir les produits qui bénéficient d’une AOC (appellation d’origine contrôlée). Je trouve cela fascinant, que chaque région ait ses ingrédients « fait pays », ses petites fiertés, son héritage et ses traditions culinaires. Et puis, j’ai toujours trouvé ça mignon « piment d’Espelette » !
Pour la petite histoire, Marmiton explique que le piment d’Espelette a été baptisé ainsi en référence à une petite commune éponyme du Pays Basque. Figurant parmi les emblèmes de la région, il bénéficie d’une AOC et sa production doit donc respecter un certain nombre de critères, d’autant plus que la zone est assez limitée.
Il est ensuite conditionné sous plusieurs formes : en purée, en coulis, en sauce, séché ou encore en poudre. Pour ma part, j’ai reçu un petit pot de poudre de piment d’Espelette. Et je peux vous dire que j’ai hâte d’assaisonner mes prochains plats avec ! Apparemment, on peut l’utiliser dans les plats de poisson, de moule, de viande et de volaille et dans les omelettes. Qui mangera verra !
En tout cas, si vous avez des recommandations, des recettes à partager, je suis tout ouïe 😉
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